Entretien de minuit : Ortancia, Ivan Morg et ???

Ortancia quitta sa salle comune a minuit, elle n'avait pas réussit à dormir d'une part car cela allait bientôt faire plus d'une semainse qu'elle ne dormait plus. Mais aussi car ce soir elle aviat un rendez-vous particulier avec son onlce et quelqu'un d'autre de mystérieux.

Ortancia embrassa Sanada qui était avec dans la salle comune et lui dit de ne pas l'attendre car l'entretien qu'elle allait avoir aler surement durer assez longtemps.

Ortancia n'eut aucun mal à rejoindre le bureau du professeur Morg. Elle ne savait pas si elle était chanceuse se soir mais elle ne recontra personne dans les couloirs de l'école pas d'élèves choses inhabituelles, pas de fantômes, ni même la chatte de ce bon vieux rusard ou lui même. Il y avait personn cela était assez étrange mais Ortancia ni fit pas trop attention, elle avait l'esprit concentrer sur ce qui alllait ce passer dans ce bureau ce soir à minuit !

Elle arriva devant la porte du bureau, elle frappa doucement, assez fort pour que les personnes à l'intérieure l'entede pas pas trop fort non plus pour ne pas réveiller les prottait qui n'était pas loin de la porte du bureau.

TOC !! TOC !! TOC !!!

Ortancia entra dans le bureau qui avait changé depuis sa dernière visite. Elle fit la bise à son oncle et alla s'assoir sur l'une des chaises installées devant cette grande et magnifique table de marbre.

"Mon oncle sahez une chose, je ne compte en rien dilvuger ce que je vais voir ce soir, si il y a une personne que je mettrais au courrant de cela se serait mon petit ami et encore je ne sais même pas si je lui en parlerais."

Ortancia était toute excitée, elle regardait un peu partout en se demandant comment il allait venir.

La porte fut recouverte d'un voile noire, un vent de peur, froid et oppressant tournoya dans la salle. Avec une profonde détonnation, des flammes chaude, bouillonante apparaissèrent. En leur centre, un homme, vêtu d'une cape sombre.

A première vue, beaucoups auraient cru voir des mains faites d'os, sans rien. Mais si l'on attendait un peu, une chaire épaisse se faisait connaître recouverte à présent de peau. Quelques minutes après, les éléments céssèrent de se déchainer pour redevenir totu à fait normal.

L'homme retira sa cagoule et se rapprocha d'eux. Un souffle de l'autre monde le recouvrait, il était difficile de distinguer exactement les formes de son visage sans trop se rapprocher de lui.

Quand il fut à quelques mettre d'eux, la pierre que portait Ortancia se réchauffa. Il s'avança, toujours plus proche pour qu'on puisse le voir. Il adressa un large sourire à Ortancia :

- Bonjour ma fille.

Ortancia reconnue La Mort arriver, elle était stupéfaite. La Mort venait de l'appeler "ma fille". Ortancia ne savait que dire, elle était bouche bée.

Elle regardait l'homme, enfin La Mort qui venait d'apparaitre devant elle. Ortancia se leva et s'approcha de lui. Puis elle dit d'une voix troublée par un sentiment indéfinissable :

"Je ... Tu es donc mon ... père ... Je ne comprend pas trés bien ... comment mais ... Je ... je ... suis ravie de ... te enfin de te rencontrer pour la première fois. Raconte moi ! parle moi de toi et pourquoi et comment tu es mon père ?"

Ortancia était à la fois choquée et emerveillée de voir et savoir que son père était la mort. Mais quelque chose l'inquitait mais elle ne savait pas quoi ...

"Je ... Tu es donc mon ... père ... Je ne comprend pas trés bien ... comment mais ... Je ... je ... suis ravie de ... te enfin de te rencontrer pour la première fois. Raconte moi ! parle moi de toi et pourquoi et comment tu es mon père ?"

Le Roi des Aulnes se rapprocha d'elle. Instinctivement, il la pris dans ses bras. A son orreille il glissa :

- 11 ans que je ne t'ai pas cesser dans mes bras, onze ans que j'ai du me retenir, onze ans passé à souffrir sans voir la chair de ma chai... euh bref tu as compris le sens.

Il relacha son étreinte puis poursuivit :

- Il y a onze ans justement, j'ai offert mon amour à ta mère, Bella, tu en es le fruit. Néanmoins, ce que je suis m'a empéché de pouvoir la voir aussi souvent que je ne l'espérait et donc de voir ton enfance... je le regrette profondément. J'ai tout de même voulu te protéger, j'ai donc demander à mon beau frère *Il ne croisa pas le regard d'Ivan* de veiller sur toi. Pour cela, je lui ai offert l'immortalité et une baguette comme celle que tu portes. Il ne s'agit pas de baguette comme les autres, la sienne étant moins puissante que la tienne.

Sa voix se faisait désoramis douce, calme, posée. Il n'avait jamais été comme cela au paravant, sauf avec Bellatrix.

Ortancia était ravis de rencontrer son père, c'était pour elle un superbe moment. Les deux jours qui venaient de passer avait été riche en émotions, la découverte de son oncle puis la rencontre avec son père.

Elle regardait son père et ne comprenait pas certaines choses mais elle s'en fichait ce qu'il l'intéressait, c'était d'être avec son père et aussi son oncle qui n'était pas loin.

Ortancia étraignit à son tour son père qu'elle n'avait jamais vus encore.

"Mais ... Roi des a... euh ...Papa ppourquoi me parles tu de cette baguette ? Qu'a t elle de si important ?"

Mais ... Roi des a... euh ...Papa ppourquoi me parles tu de cette baguette ? Qu'a t elle de si important ?

Un sourire apparue au lèvre du père, il s'expliqua :

- Cette baguette, elle est faites des âmes que j'ai torturé par le passé, ou que ta mère a pu torturé. Quand tu jette un sort avec elle, elle tire sa puissance magique de toutes ses âmes, ainsi que de ma propre puissance, à chaque sort que tu lances, je suis derrière toi pour t'aider. Note aussi qu'elle ne peut être portée que par ceux de notre sang.

Il calina sa fille avec tendresse, amour. Bien qu'il ne l'avait pas vu souvent, il était attaché à elle, il ne souhaitait plus la quitter.

- Je te demande pardon pour ce que tu as pu endurer par ma faute, je m'en veux réellement. Si tu as besoin de moi, pourquoi que ce soit, il te suffira de m'appeler, je viendrais.

Il la cerra fort contre lui, comme il n'avait jamais pu le faire avant. Regrettant de ne pas avoir pu voir son visage mais aussi que sa fille ne lui en veule.

Ortancia était sous le choc des émotions, en peu de temps elle venait d'apprendre plein de chose sur sa famille. Son père est en vie et elle peut le voir quand elle le souhaite suffit de l'appler et il viendras. Pareille pour son oncle et a juste à traverser le chateau et se rendre dans son bureau pour le voir et lui parler.

"Je ne t'en veux aucunement ! Si tu as fait cela c'était pour mon bien j'en suis convaincue !"

Ortancia se retourva vers son onlce, Ivan Morg et lui demanda :

"Mon oncle, pourrais je dormir ici cette nuit je n'ai pas envie de retouner dans ma salle comune et dans mon dortoir ?"

Ortancia regarda son oncle avec un regard plein d'affection. Puis elle regarda son père et lui demanda :

"Dans combien de temps tu pourras revenir ?"

- Dans combien de temps tu pourras revenir ?

Le sourire de l'homme se dissipa peu à peu puis il répondit :

- Je... Pardonne moi... Je serais là dès que tu auras besoin de moi. Je peux rester encore quelques heures si tu le souhaite, mais je ne pourrais pas non plus passienter paisiblement ici... Cependant, je serais là après tes examuns, tu as ma parole. Si tu as besoin de moi avant cela, tu n'auras qu'à m'appeler.

Ortancia regarda son père avec un grand sourire, elle avait un nombre incalculable de question à lui poser mais elle ne savait pas si elle devait puis elle se lanca :

"Il y a une chose que je voudrais savoir comment toi et ma mère vous etes vous rencontrés ?"